Mes applications, édition 2023
J’ai trouvé intéressante la démarche de Timothée Goguely qui liste ses applications utilisées, inspiré lui-même par d’autres. Dans la continuité de ce que j’avais commencé avec les applications open-source que j’utilise, je vous propose une liste plus exhaustive en y ajoutant mes propres « catégories ».
📨 Client email : Mail (iOS et macOS)
📮 Serveur mail : iCloud (perso), kMail (pro)
📝 Notes : iCloud Notes (perso), Notion (perso + pro)
✅ To-Do : iCloud Rappels (perso + pro), Notion (pro)
📆 Calendrier : iCloud Calendrier (perso), kCalendar (pro)
📁 Drive : iCloud Drive (perso et pro, avec chiffrement des données)
💾 Sauvegarde physique des données : Time Machine
📖 RSS : Reeder (iOS et macOS)
📇 Contacts : Apple Contacts
🌐 Navigateur : Firefox Developer Edition (desktop), Firefox (mobile)
🔐 Gestionnaire de mots de passe : Enpass
💬 Chat : Apple Messages (perso + pro) WhatsApp (perso), Telegram (perso), Signal (perso), Mattermost (perso), Slack (pro)
🔖 Marques-page : Linkace
📑 Listes de lecture : Linkace
📰 Actualités : Reeder (iOS et macOS)
📜 Éditeur de texte : Pages
📈 Feuille de calculs : Numbers
📊 Présentations : Keynote, Figma
🛒 Liste de courses : iCloud Rappels
🎵 Musique : Apple Music
🎙️ Podcasts : Apple Podcasts
🎬 Lecteur vidéo : IINA
📖 Livres numériques : Apple Books (desktop & mobile)
⏳ Trackeur de temps : Clockify
🧑🏻💻 Éditeur de code : VSCodium
👨🏻🎨 Logiciel de conception d’interfaces : Figma
🕳️ VPN : Proton VPN
🌵 Client Git : Fork
🚚 Client FTP : FileZilla
🐘 Client Mastodon : Mona (desktop & mobile)
🗺️ GPS : Apple Plans, Citymapper
🏃🏻♂️ Tracker de sport : Apple Forme / Exercice
Crédit
Image de couverture : photo de Mariia Shalabaieva sur Unsplash
Cet article a été publié le 22 juin 2015 durant ma troisième année à l’école de design Nantes Atlantique. Il s’agit pour moi d’en conserver une trace en ligne. Certaines références ne sont peut-être plus à jour. Bonne lecture.
Depuis plus de deux mille ans, l’homme utilise des polices de caractères. Que l’on soit médecin, boucher ou encore designer, nous écrivons tous. N’importe où, n’importe quand. Les caractères typographiques sont partout. Magazines, sites internet, livres, rapports, enseignes, logotypes, packagings… Bien plus qu’une simple suite de caractères, de signes en tout genre, qu’elle soit italique, grasse ou encore light, une police d’écriture va bien au delà de la simple lecture d’un document. Mais comprenez-vous ce qu’elle vous raconte ?
Alors qu’une typographie est la composition d’une page entière, les polices d’écritures sont un « ensemble complet des signes typologiques (lettres minuscules, chiffres et lettres capitales) de même style et de même graisse »[1]. Depuis plus de 2000 ans l’homme a commencé à laisser sa trace sur une paroi. En effet l’alphabet grecque formel est apparu en 300 avant J.C mais depuis l’âge de 6 ans, nous sommes tous créateurs d’au moins une police de caractères. Nos écritures reflètent une personnalité qui nous est bien singulière. Énormément de sens peuvent être transmis à travers une écriture, c’est le but même de la graphologie qui étudie la forme d’une écriture pour en déterminer la personnalité du créateur.
Des centaines de polices de caractères ont vu le jour et comme dans d’autres domaines, il a fallu une classification pour comprendre leurs sens, leurs attributs et même leurs formes. C’est en 1921[2] que l’on voit apparaitre la première classification intitulée Thibaudeau du nom de son créateur. Cette dernière est finalement améliorée trente ans plus tard par Alexandre Vox qui la renommera classification « Vox-Atypi ». Au lieu de regrouper les polices seulement sur le type d’empattement, ce classement vise à les regrouper selon plusieurs critères tels que l’époque de création, les pleins et déliés, c’est à dire les caractéristiques techniques mêmes de la fonte.
Autrefois fondu dans un bloc de plomb, le numérique a complètement révolutionné la création de caractères typographiques ainsi que son utilisation. Le grand public peut ainsi désormais choisir une police d’écriture dans des documents, souvent commander par l’esthétisme de celle-ci. Mais qu’en est-t-il pour les professionnels de la création ? Designers, typographes, comment choisissent-ils une police d’écriture ? Les caractères sont partout. Aujourd’hui, « 95% de l’information sur le web est écrite »[3]. Alors comment se différencier ?
Une police de caractère est avant tout vecteur de communication. Elle communique un sentiment et au fond de soi, on en est conscient. Pour reprendre l’exemple de David Rault[4], il choisit un mot où il change la police d’écriture pour ce même mot. On peut donc observer que pour un mot le ressentit que l’on va avoir n’est pas le même en fonction de la police de caractère utilisée. Pour mieux comprendre, une police d’écriture est exactement comme une intonation de voix, un contexte se crée à chaque fois.
« Chaque caractère d’imprimerie possède son propre passé, véhicule un bagage culturel, historique et social, et crée par sa seule présence sur une page, au-delà du sens des mots écrits une véritable ambiance. » D. Rault
C’est en ce basant sur ce bagage culturel qu’est réalisé le choix d’utiliser une police plutôt qu’une autre. Cependant ce n’est pas tout, chaque caractère a un usage plus ou moins spécifique. Grâce à notre culture, nous semblons comprendre ce que veulent nous dire ces polices parce que leurs utilisations sont récurrentes pour des thématiques précises. Prenez l’exemple de la police Times[5] réalisée par Stanley Morison et destinée au journal britannique du même nom. Ses empattements l’ont rendue extrêmement lisible d’où son utilisation dans le journal du même nom et elle est devenue célèbre car Microsoft en a fait la police par défaut du logiciel Word jusqu’en 2007. La police Times fait partie des caractères de texte qui ont été créé pour la composition de longs paragraphes afin de faciliter la lisibilité et le confort de lecture. Ce type de police possède souvent des empattements mais il faut savoir que bon nombre de linéales (police de caractère sans empattement) restent extrêmement lisible et confortable. Cependant la plupart des gens préfèrent les polices serif (avec empattements).
Bien entendu, un designer ne respecte pas toujours ces règles de conduite mais certains codes graphiques existent pour que le lecteur ne soit pas gêné par la lisibilité d’une police de caractère. Certaines créations de caractères typographiques demandent plusieurs années pour être conçues et même si la perfection est un idéal, ces dernières s’en rapprochent pour devenir à part entière des logotypes de grandes marques connues de tous. La conception de la police « Futura »[6] demanda 3 ans (1924-1927) à son créateur Paul Renner pour en faire une icône dans son domaine, puisqu’elle sera « l’écriture de notre temps » explique-t-il. Ses formes géométriques font d’elle une police moderne, élégante et très utilisée (Volkswagen, Canal +, Louis Vuitton…) et transportée jusque sur la Lune. Ces polices appelées « police de titrage » annoncent d’emblée le caractère du message que veut transmettre le designer qui l’utilise. Conçues dans un but bien spécifique dans certains cas, elles peuvent se permettre une certaine fantaisie ou originalité et peuvent être bien différentes les unes des autres. En effet, certaines seront à empattements, d’autres larges et impactantes ou encore fines mais tout de même bien visibles. Le but est d’attirer l’œil du lecteur.
Nos yeux sont habitués à lire continuellement des slogans publicitaires ou autres documents en tout genre aux formats différents. C’est l’utilisation des polices de caractères parfois semblables, parfois diamétralement opposées qui permettent à ces derniers de se différencier. C’est ce qui fait toute la beauté de la création de caractères typographiques. Malgré des vérités certaines sur le sens d’une police d’écriture, nous venons les comprendre grâce au contexte d’utilisation et à notre culture personnelle. Les polices fonctionnent de manière subjective pour chacun d’entre nous et questionnent notre ressenti comme un art à part entière. Il est essentiel de se laisser guider par nos perceptions de ces caractères tout en comprenant leurs sens et leurs messages.
Sources
- Blog Du Webdesign, Vincent GINET , « Les codes de la Typographie #1 – Structure et vocabulaire de la lettre », publié le 7 avril 2010, http://bit.ly/1CFW3lP, consulté le 28 avril 2015
- Blog Du Webdesign, Vincent GINET, « Les codes de la Typographie #2 Histoire et Familles », publié le 14 avril 2010, http://bit.ly/1DTuj0S, consulté le 28 avril 2015
- Blog Du Webdesign, Oliver Reichenstein , « Le web, 95% de typographie », publié le 11 décembre 2013, http://bit.ly/1ItUmsW, consulté le 29 avril 2015
- « La typographie comme outil de design » de David RAULT, [Conférence], ParisWeb, 2010, durée 56 minutes 22. Visible sur le compte Dailymotion de ParisWeb (http://bit.ly/1dJP1Gj), consulté le 18 novembre 2013.
- The Times and The Sunday Times, « Unquiet Film Series – Times New Roman », [Documentaire], Direction : The Times and The Sunday Times, 2014, durée 3 minutes 24. Visible sur Youtube (http://bit.ly/1oV98Ex), consulté le 14 juin 2014
- Evantias Chaudat, «Futura, l’interview », [Motion], Direction : Evantias Chaudat, 2014, durée 4 minutes 13. Visible sur Vimeo (https://vimeo.com/57919977), consulté le 22 mars 2014
- Bruce WILLEN & Nolen STRALS, Lettrage & typographie, Pyramid, 2010.
- Granjean Françoise, Gérard Blanchard. Jan Tschichold parle de typographie. In: Communication et langages. N°63, 1er trimestre 1985. pp. 54-70
- Thibault DE FOURNAS, « From Paper To Screen », [Motion], Direction : Parachutes, 2013, durée 2 minutes 28. Visible sur Vimeo (https://vimeo.com/69375692), consulté le 6 avril 2015
- « La meilleure police », publié sur Youscribe (http://bit.ly/1EN2xS9), parution mai 2012 dans Le Nouvel Observateur
- Ben Barrett-Forrest, « The History of typography », [Stop-Motion], Direction : Forrest Media, 2013, durée 5 minutes 09s. Visible sur Youtube (http://bit.ly/IV6Cvj), consulté le 16 septembre 2013
- « Type:Rider », [jeux vidéo iPad], Créé par COSMOGRAFIK, Produit Par EX NIHILO & ARTE FRANCE, édité par BULKYPIX, 2013.
Crédits
- Image de couverture : Markus Spiske
- Image dans le texte : arnoKath
- Image dans le texte : Fabio Santaniello Bruun
Sensibilisé depuis longtemps au capitalisme de surveillance, je tente à mon échelle et avec mes connaissances techniques de changer mes outils et autres applications au profit d’alternatives plus respectueuses de mes données personnelles avec également comme objectif de me les réapproprier.
De Google Workspace à Nextcloud
J’essaie depuis maintenant quelques années de me passer des services de Google pour ma vie personnelle. Ce n’est pas simple mais j’ai largement diminué ma dépendance. Cela faisait déjà un moment que l’idée me trottait dans la tête pour le côté pro mais j’ai réellement quitté Google Workspace (la suite de Google à destination des professionnels) en mai 2021.
Je ne sais plus comment j’ai découvert Nextcloud, le fork d’Owncloud. Il y a plus de trois ans déjà, je testais Nextcloud sur mon propre serveur web via leur installation simplifiée. Et encore bien avant cela, j’expérimentais l’installation de Cozy Cloud sur ma Raspberry Pi… Disons que j’aime expérimenter.
J’ai choisi Nextcloud pour trois raisons :
- C’est un logiciel open-source qui a une grande communauté ;
- Une multitude d’applications est proposée en plus de la gestion de fichiers comme un calendrier, gestion des contacts, etc ;
- Une application pour macOS est également proposée afin de ne pas avoir à se connecter constamment à une version web, ce que je trouve extrêmement pratique.
Le test d’auto-hébergement était concluant sur un usage minimal mais j’ai soulevé plusieurs problèmes lors de ce test. Mon serveur n’était pas adapté, à la fois en terme de performance mais aussi en terme de stockage. Ces deux points sont faciles à résoudre en changeant de serveur. Ma plus grosse problématique était la maintenance. Mes connaissances techniques sont limitées et j’avais trop peur de perdre des données essentielles à mon entreprise. J’aurais également pu mal configuré Nextcloud, ce qui pourrait engendrer des risques de sécurité ou simplement des pertes de données lors d’une mise à jour. C’est pourquoi j’ai abandonné cette idée à l’époque. Il fallait donc que quelqu’un gère cet aspect technique à ma place.
Le choix de l’hébergeur
Pour effectuer ce changement de cloud, j’ai regardé différents fournisseurs. Mes besoins étaient relativement simples :
- Proposer une adresse email ;
- Proposer un hébergement web pour mon portfolio ;
- Proposer un hébergement Nextcloud ;
- Les serveurs doivent être localisés en France ;
- Proposer des tarifs attractifs.
Gandi m’a paru être le choix le plus adapté puisqu’il réunissait tous ces critères !
Après bientôt un an d’utilisation…
Après bientôt un an d’utilisation, je suis plutôt satisfait de mon choix. Mes données ne sont plus exploitées. Nextcloud répond aussi bien à mes attentes que Google en terme de performance et d’usage au quotidien. L’interface est simple, bien que je ne l’utilise que très peu, l’application macOS qui permet de visualiser mes fichiers dans le Finder étant bien plus pratique.
J’ai malheureusement eu une déconvenue. Gandi propose l’installation de Nextcloud sous forme simplifiée mais la maintenance n’est pas inclue dans leur formule… Chose qui n’est pas claire sur leur site à mon sens. Après deux nouvelles versions majeures de Nextcloud où j’ai demandé au support de bien vouloir mettre à jour mon instance, j’ai compris que je ne pourrais plus faire appel à eux pour cette tâche. Et comme souvent, j’ai beau suivre à la lettre les instructions pour mettre à jour manuellement Nextcloud, cela ne se passe jamais comme prévu… Ayant souscrit pour une année chez eux, j’envisage de basculer pour une autre solution à la fin de mon engagement.
De Twitter à Mastodon
Tout le monde connait Twitter et les dernières dérives d’Elon Musk, mais si je passe de moins en moins de temps sur ce réseau social, c’est surtout au profit d’un autre plus éthique et plus respectueux de mes données personnelles. Inscrit sur Mastodon depuis août 2018 sur l’instance de la Quadrature du Net, j’ai décidé récemment de passer sur ma propre instance.
Le choix de l’hébergeur
Comme pour Nextcloud, il était hors de question que je me lance dans de l’auto-hébergement. Et cette fois-ci, je devais prendre un hébergeur qui assurerait la maintenance. Après quelques recherches, j’ai trouvé deux solutions :
- masto.host (6 €/mois)
- Spacebear (16 €/mois)
J’ai opté pour masto.host, en raison principalement de son coût inférieur à celui de Spacebear. Cela dit, les caractéristiques des offres différent légèrement. De plus j’avais longuement entendu parler en bien de masto.host grâce à diverses personnes sur Mastodon dont Aral Balkan. À noter également que les serveurs sont basés en France.
Après 1 mois d’utilisation…
Je ne referais pas un énième descriptif de Mastodon mais ce que je peux noter à ce jour :
- Une instance individuelle n’est pas adaptée à un nouvel arrivant : la timeline locale permet de découvrir des utilisateurs et d’être découvert par eux ;
- L’espace de stockage de mon instance semble vite se remplir alors que je ne suis pas un gros utilisateur… ;
- J’ai libéré une place d’une autre instance ;
- Les posts ou réponses de personnes que je ne suis pas ne sont pas affichés. Il faut aller sur leur profil respectif pour avoir accès à l’ensemble de leurs publications… C’est par conséquent assez frustrant et contraignant ;
- L’application Metatext est une bonne solution mais je suis ravi de voir apparaitre Ivory. Créé par Tapbots (les développeurs de l’app Tweetbot) qui à terme me permettra de synchroniser via iCloud la position de lecture de ma timeline.
Conclusion
Si ma motivation première est de me passer d’outils qui abusent de mes données, « posséder » mes données est tout aussi important à mes yeux. Je suis bien conscient que je ne les possède pas véritablement puisque je fais appel à des prestataires, mais je gagne tout de même en indépendance et en contrôle par rapport à des services centralisés et propriétaires.
Dans cette optique de possession, j’ai récemment mis en place mon Tweetback, une solution qui permet d’héberger ses tweets sur son propre serveur.
Je suis également ravi de pouvoir expérimenter de nouveaux usages même si cela implique une contrepartie financière mais qui se justifie par le contrôle de mes données. On a tendance à oublier que chaque service a un coût, quel qu’il soit. Et pour finir, cela me permet d’estimer ce fameux coût de ma présence en ligne.
Pour conclure, je crée d’une certaine façon, mon identité numérique. Avec ces choix je peux rassembler mes différents services sous mon nom de domaine et je crée également ma résilience digitale. Je me demande maintenant : quel sera mon prochain service ?! 😉
Photo de Harrison Broadbent sur Unsplash
Une courte liste d’applications que j’utilise quotidiennement, à la fois dans ma vie personnelle comme professionnelle.
Signal
Je pense que vous connaissez cette application de discussion instantanée. Plébiscitée depuis maintenant plusieurs années par de nombreux médias et personnalités, elle me sert surtout à discuter avec des amis.
Mattermost
Mattermost est une alternative à Slack. Utilisée également avec des amis, elle reste bien pratique pour le système de channel. J’aimerais la voir plus utilisée dans le monde professionnel.
NetNewsWire
Certains trouveront que le système RSS est obsolète, pour ma part je trouve que ce protocole est super ! Je l’utilise pour consulter l’actualités des différents site que je suis. Étant dans l’éco-sytème d’Apple, NetNewsWire permet de synchroniser les différents articles vus entre iOS et macOS. Très pratique !
Metatext (Mastodon)
Metatext est une application iOS qui permet d’utiliser Mastodon (alternative décentralisée de Twitter). Je l’utilise également sur Mac. L’application iOS Mastodon a été publié il y a plus d’un an maintenant. Cependant Metatext possède plus de fonctionnalités comme la possibilité de consulter le fil local (même instance) et le fil publique (toutes les instances) des posts.
Pixelfed
Similaire à Mastodon, Pixelfed est l’alternative décentralisée d’Instagram. Disponible depuis toujours sur le web, l’application iOS vient de voir le jour il y a quelques semaines.
Passepartout
Cette application permet de paramétrer différents VPNs. Vous pouvez même synchroniser vos différents profils avec iCloud pour les retrouver sur vos différents appareils Apple.
Firefox
Inutile de présenter le navigateur Firefox. J’ai longtemps été sous Safari mais dernièrement je retente l’expérience sur Firefox. Voici mes extensions :